Denedrim, soldat des Peuples Libre.

La situation en Gondor et les parents de Denedrim.

Les escarmouches entre les Gondoriens et les hommes de Saurons ne s’étaient jamais vraiment arrêtés. Pour certains, il était même dure de dire depuis quand tout cela avait vraiment commencé. Ce qui était sûr et certains pour tout le monde, c’est que le royaume était dans un véritable déclin. L’orgueil des dirigeants et des chefs d’armes n’arrangeaient rien à la détresse des civils. Le long de l’Anduin, Ostgiliath et l’Ithilien avaient été capturé par une force considérable d’Uruks. Pour finir, Boromir avait repris l’Ithilien et Ostgiliath mais la cité ayant subit des dommages considérables dû être abandonnée et fût transformer en place forte où des échanges et des batailles rapides avaient lieues quotidiennement. Le territoire du Gondor avait diminué au fil des années il avait finit par perdre toute sa grandeur d’an temps. Tout le long de l’Anduin se trouvait des villages et hameaux abandonnés, pillés par l’ennemi et les brigands. Certains tentaient de survivre à cette époque, d’autres fuyaient vers les grandes cités en formant des arrivages toujours plus grands de réfugier dans la cité blanche.

Dans un de ces petits hameaux, la population civile vivait de pèche et d’agriculture. La température idéale et les sols permettaient l’exploitation des terrains alentours en champs pour le bétail. Quoi qu’il en soit, la guerre n’était jamais loin et de temps à autres, les villageois croisaient une colonne ou deux d’hommes du Gondor qui partaient vers Ostgiliath ou des régions plus hostiles encore pour défendre les frontières. D’habitude, ces gens ne faisaient que passer, prenant de temps à autres quelques victuailles dans les réserves des marchands où installant un camp dans les environs pour se reposer. Un calme après-midi, une nouvelle colonne d’hommes d’armes arriva dans le hameau. C’était la troisième colonne de la semaine. Cas très rare et plutôt inquiétant. Pour ne pas arranger les choses, la colonne s’arrêta dans le village et un homme d’arme accompagné d’un porte-bannière s’arrêta sur la place centrale pour parler aux villageois. D’après ces dires, des forces Uruks tentaient de prendre l’Anduin pas par Ostgiliath mais plus au Nord. Ils tentaient de contourner la ville pour débarquer par barque à un endroit où la profondeur était moins grande. L’endroit idéal se trouvait à moins de 8 miles d’ici. Il n’en fallait pas être un génie pour deviner que si les Uruks réussissaient à capturer le fleuve et à marcher en terre du Gondor, le hameau serait une cible facile pour le pillage et le meurtre. Les craintes de chacun se confirmèrent lorsque l’homme d’arme demanda à tout les civils de faire leurs affaires et de marcher vers la cité blanche où plus à l’intérieur de terres.

C’est ainsi qu’un nouvel hameau fût abandonné et laisser aux orcs (si ils passaient) Environ 150 personnes partirent rapidement avec tout leurs biens vers l’intérieur des terres dans un convois de charriots, cheveux, bétails, enfants entremêlant des hommes, des femmes, des enfants et des aînés. Le convoi se sépara vers le Pelenor pour aller chacun dans la direction où ils voulaient. La plupart partiraient sans doute vers la cité blanche, l’imposante forteresse et la hauteur de ses murs suffisaient peut être à certains de se croire en sécurité. Pour d’autres, ils partirent encore plus dans les terres, vers la côte Ouest du Gondor ou plus loin, encore.

C’était le cas d’un couple de jeune personne qui décida de quitter complétement le pays pour se rendre en Eriador. Ils avaient pour faire ce long voyage des cheveux de traits assez rapide qui tiraient un petit chariot avec tous les biens qu’ils possèdaient. Ce couple avait l’habitude de long trajets car ils étaient marchants ambulants et allaient de cités en cités vendre ce qu’ils avaient à vendre. La femme était enceinte depuis déjà quelques mois et le bébé ne tarderait sans doute pas à venir au monde. L’homme se nommait Hadrim, fils d’un marchand d’un ferronnier il avait décidé de ne pas suivre la carrière de son père mais de devenir marchand ambulant pensant qu’ils gagneraient plus en vendant partout dans les terres du Gondor. La femme quant à elle se nommait Elaria. Elle ne travait pas pour ainsi dire, sauf à la fabrication du lin dans un atelier dans la région. Mais ce travail ne rapportait pas grand chose et vu qu’elle passait plus de temps à voyer avec son mari qu’à travailler à l’atelier… Après encore un bon moi et demi de trajet, ils arrivèrent lassés et fatigués dans la maison du frère de Hadrim : Sirios. Lui aussi, avait quitté le Gondor, mais dans sa jeunesse pour devenir archiviste dans une bibliothèque réputée de Bree. Il avait un bon langage et de très bonnes connaissances de la région. Plus vieux que Hadrim, cela ne l’empêcha pas de vivre plus longtemps. En effet, Hadrim, terrassé par une maladie s’en alla après 35 ans de vie passée sur la terre du milieu.

Naissance de Denedrim, enfance, jeunesse et passage à l'âge adulte.

Naquis entre temps Denedrim. Elevé surtout par son oncle, car sa mère travaillait dure à Bree, il appris rapidement la lecture et l’écriture, décrétant que dans ces terres cela donnerait une meilleure vie qu’apprendre à se battre avant tout. Cela ne l’empêcha pas de s’entraîner à la chasse et aux maniements des armes. Lorsqu’il eu l’âge de 15 ans, Denedrim parti travailler à Bree dans une ferronnerie où il appris l’art de fabriquer des armures pour la garde de Bree. Calme, il savait s'y prendre avec l'air du métal et apprenait très vite. Entre temps, Denedrim passait son temps libre à lire des bouquins et des parchemins ramenés par sa famille sur l'histoire de la terre du Milieu mais aussi sur le pays de sa famille qu'il n'a jamais vu. De ce fait, il ressent comme un manque. Il vécût néanmoins heureux jusque ces 20 ans où sa mère mourra à son tour, suivit peu après par son oncle. Sans famille et après de longues années passées seul (-Denedrim resta chez son oncle jusqu’à l’âge de 31ans. Il travaillait alors dans la même ferronnerie que dans sa jeunesse) il décida de s’installer à Bree en vendant la maison de son oncle. En fouillant dans la cave, il trouva un petit coffre scellé qu’il décida d’amener à la ferronnerie pour retirer sa scellée. Il parti donc avec tout ce qu’il lui restait : l’arc fabriqué par son oncle, la dague faite par son père et peaufinée par lui même ainsi que tout ce qui lui restait de ses parents et de son oncle. En route vers Bree, il croisa un groupe de brigands qui l’attaquèrent. Seul, il ne pût rien faire pour protéger ses biens qu’il tenta malgré tout de défendre. En vain, car ses biens furent volés et emmenés en Andrath. Ne supportant pas d’en rester là, Denedrim fila rapidement à Bree pour trouver un peu d’aide. C’est là qu’il trouva Ciryiel, une elfe de la forêt noire et Alsedor, un ancien archer de l’Ithilien. Acceptant de l’aider, ils formèrent plus tard un trio inséparable. Ils récupérèrent ensemble les biens dérobés par les brigands en attaquant ensemble le camps des brigands. L'attaque dura longtemps. Le camps était quand même assez bien protégé mais Denedrim avait de la chance d'être accompagné par deux personnes expérimentés dans la matière. Il remarque que ses entraînements avec son Oncle et son travail à la ferronnerie avait porté ses fruits. En effet, il arrivait à porter de nombreux coups à ses adversaires et il arrivait à tenir contre un adversaire un peu plus fort que lui. La dextérité d’Alsedor et sa précision à l’arc ajouté à la stratégie et à la force d’âme de Ciryiel couplé par la force de Denedrim permirent au trio d’avoir la victoire. Après tout ça, Denedrim s’installa à côté de Bree dans une petite maison où il invita souvent ses amis. Ils partagèrent de longues soirées arrosées à l'auberge du Poney Fringuant où ils discutaient de tout et de rien.

L'entrée dans les Peuples Libre.

A l’âge de 32 ans, il fût contacté par Alsedor qui lui demanda si il voulait avoir une partie à écrire dans l’histoire de la terre du milieu. Il était clair que les années passantes, l’histoire s’assombrissait de plus en plus et les rumeurs allaient de bon train. En ayant marre de passer ses journées à la ferronnerie et décidant qu’il était grand temps de faire ressortir son sang gondorien et d’aider dans la luttes contre les orcs, il accepta l’offre d’Alsedor et ils furent tout trois recrutés dans l’armée des Peuples Libre par Eonord, un rohir. C’était l’occasion pour Denedrim de prouver sa valeur, prouver qu’il valait mieux que ce que les autres disaient de lui. Prouver que lui aussi, il savait se battre, que tout ce qu’il avait appris par son oncle valait autant qu’un entraînement à l’armée. Bien entendu, il savait au fond de lui qu’il n’était pas vraiment un vrai gondorien, mais après tout, depuis quand fallait-il être né au Gondor pour avoir sa petite place dans la lutte contre les armées ténébreuses ? Son entré dans l’armée des Peuples Libre changea complétement sa vie. Se concentrant sur l’art de la guerre et à la meilleure façon de se battre, il s’améliora rapidement grâce aux nombreux entraînements avec les autres hommes. Il connu bientôt sa première vraie situation de guerre dans la campagne de Pont-à-tréteaux qui n’était comparé à l’effroyable siège ennemi d’Esteldin. Malgré tout, Denedrim était encore en un seul morceau et plus fort de par ses nombreuses expériences.

Il apprit petit à petit à connaître les personnes avec qu'il il était devenu un frère, un frère d'arme et un ami. Alors que tout s'assombri en Eriador et que l'Angmar se réveille, Denedrim sait qu'il peut compter sur les autres et que ceux-ci peuvent compter sur lui. Ils suivraient les hommes avec qui il se bat jusqu'à la mort.

Beau texte, malgré le manque d'information sur la personnalité de Denedrim, j'arriverai tout de même à en faire quelque chose pour le background de la confrérie.

Si tu veux je peux toujours éditer pour rajouter des informations complémentaires.

J'aurai juste besoin de savoir son caractère (fies-toi au listing que j'ai fait sur la fiche du bg d'Alsédor), ça m'aidera à un peu mieux faire entrer ton personnage en scène, afin qu'il soit "unique" !